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La série GG est composée en grande majorité des registres paroissiaux dont la collection est complète de 1582 à 1792 pour les baptêmes et de 1626 à 1792 pour les mariages et les sépultures.
On y trouve également, au hasard entre deux actes, mentions de plusieurs moments de la vie religieuse de la paroisse : bénédictions de chapelles, achat d'un calice, installation d'un retable, etc. que complètent bien l'inventaire des ornements de l'église de 1703 et le tableau des fondations de 1789 ; la mort du roi Louis XV fait l'objet d'une note en haut du premier feuillet de l'année 1774. Des tables, plus ou moins fiables, complètes ou achevées, avaient été rédigées, probablement par le curé de Rezé.
Les archives du culte comprennent encore un inventaire des ornements de l'église en 1703, un autre des fondations en 1789, un rôle de répartition des sommes à prélever sur les paroissiens pour le paiement des travaux à la sacristie et à l'église, deux « cahiers » de comptes de la fabrique, l'un de 1697 mais faisant référence à une situation de 1691 , l'autre de la fin du XVIIIe siècle. Quelques pièces du XVIIIe siècle enfin concernent une fondation, une constitution de rente et une succession.
Cote/Cotes extrêmes
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Cote/Cotes extrêmes
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Le cahier principal enregistre, dans sa première partie, les actes paroissiaux du baptême, du mariage religieux et des sépultures.
Au folio 44, République oblige, le registre paroissial s'interromp et, à la suite, s'ouvre, le 4 novembre 1792, le premier acte d'état civil enregistré sur un cahier qui est continué désormais comme un registre d'état civil. Le premier cahier annexe se présente juridiquement et adminsitrativement comme un registre d'état civil à part entière. Mais il ne concerne que les derniers jours de décembre 1792, et ne compte que 4 feuillets. Il porte une introduction qui lui confère un statut autonome de registre à part entière ; mais matériellement, il a été rapproché du cahier paroissial et d'état civil, certainement pour ne pas être perdu.
Chronologiquement, il s'insère tout à fait à sa place à la suite du cahier principal composant cet article. Juridiquement, il devrait avoir le statut de premier registre d'état civil et se placer avant celui de l'année 1793, côté 1_E_1. Il a cependant été conservé à cet emplacement, où il a été placé de longue date, et où il ne s'est pas perdu. Enfin, logiquement, on termine et complète avec lui, l'année 1792 et le registre principal correspondant. Enfin, un troisième cahier annexe et pas davantage que le précédent relié physiquement au cahier principal, forme le répertoire, par naissance, puis mariage, puis décès, des noms contenus dans les actes du inscrits sur le cahier principal.
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